Selon un dissident iranien: « être née femme dans les sociétés musulmanes [pas toutes] est à la fois un crime capital et une sentence de mort. »
Même le nazisme n’avait autant infériorisé, discriminé et méprisé la femme que l’islam. Au point que la condition de vie des animaux en Occident pouvait paraître plus reluisante que celle de la femme dans les pays musulmans appliquant la charia, la loi de l’islam, la dotant du statut de femme-esclave impliquant une multitude de devoirs, censés être la contrepartie de sa dépendance vis–à-vis de son conjoint.
Plutôt que d’éduquer l’homme au respect de l’inviolabilité du corps de la femme et d’accorder à cette dernière les mêmes droits humains qu’aux hommes, l’islam fait de la femme le bouc-émissaire des crimes sexuels et des brimades dont elle victime.
Il y a tout lieu de s’inquiéter du sort de la femme qui va être ou en passe de l’être la première victime des changements de cap politique que connaissent notamment les pays arabisés.
Si le retour de la charia qui se profile dans le ciel des pays du Printemps Arabe est une aubaine pour les hommes musulmans car elle va rétablir et conforter leurs droits exorbitants sur leurs femmes, elle est annonciatrice du goulag pour les femmes et du rétablissement d’un régime concentrationnaire humiliant et dégradant pour la condition humaine.